RUGBY FCAG Décalages les Chroniques en plein Gers de Michel Sespiaut
Le groupe Auscitain est à citer dans son ensemble
l’ expérimenté Patrick Bosque buteur à la relance Tao Tapasu une passion incombustible ! avec une mention spéciale à Nathan Thierry pour ses deux essais
sont les hommes du match
RUGBY TERROIR AMAZONE Décalages …
La Chroniques en plein Gers de Michel Sespiaut
Fiche Technique
Auch 36 - Oyonnax 20
MT:15-14. 2500 spectateurs, arbitre: M. Pomarède (Côte d'argent).
Vainqueurs: 5 E Ricaud (25) de pénalisation (36, 79) Thierry (52, 66), 4 T, 1 P (14), Bosque
Vaincus: 2 E Oulouma (6), N'Goma (16) , 2 T, 2 P (55, 59) Tian
Evolution du score: 0-7, 3-7, 3-14, 8-14, 15-14, 22-14. 22-20, 29-20, 36-20
Auch: Bosque; Thierry, Acebes, Brethous (Paterson (57), Bastelica (Vignes 77) (o) Duffau (m) Salle-Canne (Feilles 79); Medvès (Eymard 61), Ricaud, Saint-Lary (cap); Tapasu, Pénalva (Rongiéras 29); Menkarska (Landry 79), Campo (Casals 66), Y. Delom.
Exclu tempo: Y. Delom (50, brutalité). Rempl. tempo.: Ricaud par Suster (50-60). Buteur: Bosque (1 / 2 P, 4/5 T)
Oyonnax: Vogt; Oulouma, Tian (Charrier 67), Ngoma, Naves (o) Guilloux (Bouillot 40)(m) Campeggia (Ninet 77); Marth, , Brignoni (Menotti 34), Adamou (Laurent 61); Fèvre (cap), Nemecek (Beukes 64); Jgenti, Humbert (Tébani 46), Rapant (Minassian 64).
Exclu tempo: Vogt (24, antijeu), Menotti (50, brutalité).
Exclu. def.: Jgenti ( 32, brutalité).
Rempl. tempo: Adamou par Minassian (50-60). Buteurs: Tian (2/2 P, 2/2 T), Guilloux (0/1 D).
La note du match: 13/20. L'homme du match: Tau Tapasu Patrick Bosque et Nathan Thierry (Auch)
La victoire en chantant …
Les hommes du duo Patat et Sarraute se payent Oyonnax à Jacques Fouroux
Ils ont choisi leur jour et pas fait les choses à moitié
Depuis le temps qu’ ‘on espérait l’embellie de la victoire, cette bluette du printemps attendu pour mettre le nez à la fenêtre , fugueuse escamotée à Narbonne , comme un pied de nez au réalisme enfui ;après Colomiers et une victoire sous haute tension ;
Cette fois la belle s’est laissé conquérir par une formation Auscitaine séduisante
Etouffante sur les bases, ses fondamentaux qu’elle ne néglige jamais servis par un engagement de chaque instant , solidaire comme toujours, déterminée comme jamais , le panache et la prise d’initiatives en plus , les ingrédients de la victoire étaient enfin réunis et on a vu le résultat c’est un FCAG emballant qui a ravi ses supporters en mal de victoire !
La mêlée le totem du FC Auch Gers
Si on ne connaissait pas que trop, les limites d’un effectif peau de chagrin, rétréci par les inévitables blessures et la contrainte d’un budget taille fine ; on pourrait presque se prendre à regretter que la fin de saison se profile déjà pour une formation Gersoise qui a trouvée ses marques et reverdit à l’image d’un Tao Tapasu auteur d’une partie tonitruante, monstrueuse, incombustible comme dirait l’ami Bernard L.
Tôt ou tard il faudra ériger un monument dans l’enceinte du Moulias, aux abords du stade Jacques Fouroux pour ne jamais oublier le joueur et surtout l’homme qu’il est, un seul mot le caractérise, exemplaire
Son attelage avec Greg Menkarska fit des ravages et la mêlée d’Oyonnax subit la misère comme jamais
AUCH SUR LE PODIUM
Incontestablement, à l’heure des premiers bilans , sur le podium de la ProD2 la mêlée Auscitaine figure en bonne place aux cotés de celle d’Agen et de Pau
L’ordre de la hiérarchie reste à préciser, le denier match de gala à Jacques Fouroux devant les massifs Palois nous en dira un peu plus sur cette diaspora des hommes forts « du bâtiment »
Pas d’exubérance dans le vestiaire, mais une belle joie communicative. Au-delà du sentiment du devoir accompli , c’était surtout le bonheur de retrouver son niveau, celui d’une équipe référente du championnat , qui a surmonté bien des épreuves et donne des gages d’avenir avec sa belle jeunesse et sa fougue pour peu qu’on lui prête vie
Alain Torrent le manager administratif succomba sans trop résister au rituel de la tondeuse sous les yeux de Tao une mousse à la main , le repos du guerrier s’en nul doute !
Pas de quoi couper les cheveux en quatre Alain , devant un bonus offensif de bien belle facture, planté devant le second du championnat, reparti de Jacques Fouroux, les soutes pleines de doutes et de points et surtout pas mal d’interrogation sur sa capacité à se relever
Les Auscitains ont planté 5 essais contre 2 , (39 à 20)
Le score le plus lourd encaissé par la formation du Haut Bugey
Auch avait du céder il y a peu son record d’invincibilité de 29 matchs invaincus à domicile , cette fois c’est au doute que cédèrent les Oyonnaxiens devant les anciens tauliers de la Prod2
Deux match à domicile ne seront pas de trop pour que les hommes d’Urios retrouvent des couleurs avant d’aborder le « money time « des demie finales
Supporter du FCAG une foi de charbonnier !
Il fallait ça pour y croire encore, menés (14 à 3) au bout d’un quart d’heure pendant lequel les Hommes du Haut Bugey semblaient dérouler leur supériorité, envoyant une cavalerie pas si légère que ça, s’ébrouer deux fois dans l’en-but Gascon, Tian et ses arabesques faisait briller le cuir remontant à la corne des ballons gagnants
Trop vite trop fort, les actions Gersoises semblaient repartir à la baisse !
Pourtant des indices montraient aux incrédules que la partie n’était pas jouée, les avants Gersois faisaient bloc, la tête de mêlée Delom Campo Menkarska arme de dissuasion massive, commençait son travail de sape pour le bonheur des initiés et on espérait à l’orgueil, au moins contrer la machine Oyonnaxienne sur les fondamentaux, mais de la à la faire couiner !
David Penalva amoindri par un genou récalcitrant dés la 30 ème, le môme Hugo Rongieras s’y collait à son tour
Pas une sinécure, pourtant Hugo montait gaillardement au front, prés de la cage à un poste inhabituel de seconde latte, ou sa tonicité et sa mobilité compensèrent les kilos de ses voisins de palier
Oubliées les larmes de frustration Narbonnaise, les Auscitains en voulaient davantage, à chaque point de rencontre les Rouges et Blancs prenaient inexorablement l’ascendant pour gagner les centimètres de la reconquête, ceux qui te font un couloir de débordement en bout d’aile dont Nathan Thierry sut tirer parti !
Le Pilier Jgenti le mal nommé ; étrillé par la roublardise et la technicité Gersoise, de frustration prit Hugo Rongieras pour un culbuto au sortir d’un regroupement confondant agression et agressivité, il subit les foudres de l’arbitre Mr Pomarede et sorti rouge de honte pour avoir laissé ses coéquipiers se noyer face à la furia Gersoise
Un des tournants du match à n’e pas douter !
Urios en maquignon tenta la diversion esquivant 10 mn de torture à son pilier de faux semblant, mais la feuille de match qui en faisait un pillier droit et gauche aurait du lui donner tord ; les arbitres décontenancés tombèrent dans le panneau sous la bronca tombée des tribunes
La mêlée Auscitaine reprit la parole après cet intermède
Le bouledogue dépité constata les dégâts ;
Urios à Auch était tombé sur un os !
le délitement de la mêlée ‘Oyonnax se poursuivit inexorablement
A la mi temps les « Irréductibles « avaient déjà renversé le score la donne et les pronostics pour mener (15 à 14) grâce au travail de sape des avants conclu d’abord d’une cornada » d’Alex Ricaud égal à lui-même et un premier essai de pénalisation entre les pagelles le pack d’Oyonnax se dérobant devant
l’ épreuve !
Le Moulias se frottait les yeux et les travées s’animaient pour saluer la performance, ce que l’on avait d’abord pris pour de la résistance devenait panache, et encore n’avait t’on pas tout vu !
Oubliés les bobos, la fatigue des bouts de matchs enfumés, les ailes légères les appuis enflammés de
Mathieu Acebes avec Damien Duffau à la baguette, la cavalerie Gersoise déroulait son savoir faire
Tout cela respirait la joie de vivre d’une belle jeunesse en liberté !
Réduits à quatorze, mais toujours huit en mêlée Les Hommes d’Urios comprirent assez vite que le prix de la victoire serait inabordable , devant ils rebondiss aient contre un mur f, ort Chabrol et pas Maginot
Tao l’admirable entreprenait ses travaux d’Hercule, des bielles en guise de bras , tel la loco de la bête humaine
insatiable, incombustible il faillit aller à dame sur un contre, il faudra bien qu’il marque un jour pour la beauté du geste, quelle ovation ce serait, à en faire trembler les voutes du vieux stade !
Les absents ont eu tors ils ont manqué le match le plus accompli de la saison 2009-2010 des mousquetaires de l’Ovalie.
Décidemment ce groupe porte en lui de bien belles promesses pour la saison prochaine pour peu qu’on le laisse grandir ensemble !
SESSION DE RATTRAPAGE
il ne restera plus aux absents que la session de rattrapage et la réception de Palois euphoriques qui marchent comme des avions et visent plus que jamais la qualification
Un match pour l’honneur, les meilleurs
De quoi faire vrombir ce du vieux volcan du Moulias qu’on croyait trop vieux …et rebondir les flancs de la Bodega Paquito jusqu’à manquer de kérosène comme ce samedi soir pour la première fois de la saison . le brasier couverait t’il sous la cendre ? Non la FCAG n’est pas mort car il vibre encore !
“En davant toustem” – En avant toujours
Michel Sespiaut
Le groupe Auscitain est à citer dans son ensemble
l’ expérimenté Patrick Bosque buteur à la relance Tao Tapasu une passion incombustible ! avec une mention spéciale à Nathan Thierry pour ses deux essais
sont les hommes du match
RUGBY TERROIR AMAZONE Décalages …
La Chroniques en plein Gers de Michel Sespiaut
Fiche Technique
Auch 36 - Oyonnax 20
MT:15-14. 2500 spectateurs, arbitre: M. Pomarède (Côte d'argent).
Vainqueurs: 5 E Ricaud (25) de pénalisation (36, 79) Thierry (52, 66), 4 T, 1 P (14), Bosque
Vaincus: 2 E Oulouma (6), N'Goma (16) , 2 T, 2 P (55, 59) Tian
Evolution du score: 0-7, 3-7, 3-14, 8-14, 15-14, 22-14. 22-20, 29-20, 36-20
Auch: Bosque; Thierry, Acebes, Brethous (Paterson (57), Bastelica (Vignes 77) (o) Duffau (m) Salle-Canne (Feilles 79); Medvès (Eymard 61), Ricaud, Saint-Lary (cap); Tapasu, Pénalva (Rongiéras 29); Menkarska (Landry 79), Campo (Casals 66), Y. Delom.
Exclu tempo: Y. Delom (50, brutalité). Rempl. tempo.: Ricaud par Suster (50-60). Buteur: Bosque (1 / 2 P, 4/5 T)
Oyonnax: Vogt; Oulouma, Tian (Charrier 67), Ngoma, Naves (o) Guilloux (Bouillot 40)(m) Campeggia (Ninet 77); Marth, , Brignoni (Menotti 34), Adamou (Laurent 61); Fèvre (cap), Nemecek (Beukes 64); Jgenti, Humbert (Tébani 46), Rapant (Minassian 64).
Exclu tempo: Vogt (24, antijeu), Menotti (50, brutalité).
Exclu. def.: Jgenti ( 32, brutalité).
Rempl. tempo: Adamou par Minassian (50-60). Buteurs: Tian (2/2 P, 2/2 T), Guilloux (0/1 D).
La note du match: 13/20. L'homme du match: Tau Tapasu Patrick Bosque et Nathan Thierry (Auch)
La victoire en chantant …
Les hommes du duo Patat et Sarraute se payent Oyonnax à Jacques Fouroux
Ils ont choisi leur jour et pas fait les choses à moitié
Depuis le temps qu’ ‘on espérait l’embellie de la victoire, cette bluette du printemps attendu pour mettre le nez à la fenêtre , fugueuse escamotée à Narbonne , comme un pied de nez au réalisme enfui ;après Colomiers et une victoire sous haute tension ;
Cette fois la belle s’est laissé conquérir par une formation Auscitaine séduisante
Etouffante sur les bases, ses fondamentaux qu’elle ne néglige jamais servis par un engagement de chaque instant , solidaire comme toujours, déterminée comme jamais , le panache et la prise d’initiatives en plus , les ingrédients de la victoire étaient enfin réunis et on a vu le résultat c’est un FCAG emballant qui a ravi ses supporters en mal de victoire !
La mêlée le totem du FC Auch Gers
Si on ne connaissait pas que trop, les limites d’un effectif peau de chagrin, rétréci par les inévitables blessures et la contrainte d’un budget taille fine ; on pourrait presque se prendre à regretter que la fin de saison se profile déjà pour une formation Gersoise qui a trouvée ses marques et reverdit à l’image d’un Tao Tapasu auteur d’une partie tonitruante, monstrueuse, incombustible comme dirait l’ami Bernard L.
Tôt ou tard il faudra ériger un monument dans l’enceinte du Moulias, aux abords du stade Jacques Fouroux pour ne jamais oublier le joueur et surtout l’homme qu’il est, un seul mot le caractérise, exemplaire
Son attelage avec Greg Menkarska fit des ravages et la mêlée d’Oyonnax subit la misère comme jamais
AUCH SUR LE PODIUM
Incontestablement, à l’heure des premiers bilans , sur le podium de la ProD2 la mêlée Auscitaine figure en bonne place aux cotés de celle d’Agen et de Pau
L’ordre de la hiérarchie reste à préciser, le denier match de gala à Jacques Fouroux devant les massifs Palois nous en dira un peu plus sur cette diaspora des hommes forts « du bâtiment »
Pas d’exubérance dans le vestiaire, mais une belle joie communicative. Au-delà du sentiment du devoir accompli , c’était surtout le bonheur de retrouver son niveau, celui d’une équipe référente du championnat , qui a surmonté bien des épreuves et donne des gages d’avenir avec sa belle jeunesse et sa fougue pour peu qu’on lui prête vie
Alain Torrent le manager administratif succomba sans trop résister au rituel de la tondeuse sous les yeux de Tao une mousse à la main , le repos du guerrier s’en nul doute !
Pas de quoi couper les cheveux en quatre Alain , devant un bonus offensif de bien belle facture, planté devant le second du championnat, reparti de Jacques Fouroux, les soutes pleines de doutes et de points et surtout pas mal d’interrogation sur sa capacité à se relever
Les Auscitains ont planté 5 essais contre 2 , (39 à 20)
Le score le plus lourd encaissé par la formation du Haut Bugey
Auch avait du céder il y a peu son record d’invincibilité de 29 matchs invaincus à domicile , cette fois c’est au doute que cédèrent les Oyonnaxiens devant les anciens tauliers de la Prod2
Deux match à domicile ne seront pas de trop pour que les hommes d’Urios retrouvent des couleurs avant d’aborder le « money time « des demie finales
Supporter du FCAG une foi de charbonnier !
Il fallait ça pour y croire encore, menés (14 à 3) au bout d’un quart d’heure pendant lequel les Hommes du Haut Bugey semblaient dérouler leur supériorité, envoyant une cavalerie pas si légère que ça, s’ébrouer deux fois dans l’en-but Gascon, Tian et ses arabesques faisait briller le cuir remontant à la corne des ballons gagnants
Trop vite trop fort, les actions Gersoises semblaient repartir à la baisse !
Pourtant des indices montraient aux incrédules que la partie n’était pas jouée, les avants Gersois faisaient bloc, la tête de mêlée Delom Campo Menkarska arme de dissuasion massive, commençait son travail de sape pour le bonheur des initiés et on espérait à l’orgueil, au moins contrer la machine Oyonnaxienne sur les fondamentaux, mais de la à la faire couiner !
David Penalva amoindri par un genou récalcitrant dés la 30 ème, le môme Hugo Rongieras s’y collait à son tour
Pas une sinécure, pourtant Hugo montait gaillardement au front, prés de la cage à un poste inhabituel de seconde latte, ou sa tonicité et sa mobilité compensèrent les kilos de ses voisins de palier
Oubliées les larmes de frustration Narbonnaise, les Auscitains en voulaient davantage, à chaque point de rencontre les Rouges et Blancs prenaient inexorablement l’ascendant pour gagner les centimètres de la reconquête, ceux qui te font un couloir de débordement en bout d’aile dont Nathan Thierry sut tirer parti !
Le Pilier Jgenti le mal nommé ; étrillé par la roublardise et la technicité Gersoise, de frustration prit Hugo Rongieras pour un culbuto au sortir d’un regroupement confondant agression et agressivité, il subit les foudres de l’arbitre Mr Pomarede et sorti rouge de honte pour avoir laissé ses coéquipiers se noyer face à la furia Gersoise
Un des tournants du match à n’e pas douter !
Urios en maquignon tenta la diversion esquivant 10 mn de torture à son pilier de faux semblant, mais la feuille de match qui en faisait un pillier droit et gauche aurait du lui donner tord ; les arbitres décontenancés tombèrent dans le panneau sous la bronca tombée des tribunes
La mêlée Auscitaine reprit la parole après cet intermède
Le bouledogue dépité constata les dégâts ;
Urios à Auch était tombé sur un os !
le délitement de la mêlée ‘Oyonnax se poursuivit inexorablement
A la mi temps les « Irréductibles « avaient déjà renversé le score la donne et les pronostics pour mener (15 à 14) grâce au travail de sape des avants conclu d’abord d’une cornada » d’Alex Ricaud égal à lui-même et un premier essai de pénalisation entre les pagelles le pack d’Oyonnax se dérobant devant
l’ épreuve !
Le Moulias se frottait les yeux et les travées s’animaient pour saluer la performance, ce que l’on avait d’abord pris pour de la résistance devenait panache, et encore n’avait t’on pas tout vu !
Oubliés les bobos, la fatigue des bouts de matchs enfumés, les ailes légères les appuis enflammés de
Mathieu Acebes avec Damien Duffau à la baguette, la cavalerie Gersoise déroulait son savoir faire
Tout cela respirait la joie de vivre d’une belle jeunesse en liberté !
Réduits à quatorze, mais toujours huit en mêlée Les Hommes d’Urios comprirent assez vite que le prix de la victoire serait inabordable , devant ils rebondiss aient contre un mur f, ort Chabrol et pas Maginot
Tao l’admirable entreprenait ses travaux d’Hercule, des bielles en guise de bras , tel la loco de la bête humaine
insatiable, incombustible il faillit aller à dame sur un contre, il faudra bien qu’il marque un jour pour la beauté du geste, quelle ovation ce serait, à en faire trembler les voutes du vieux stade !
Les absents ont eu tors ils ont manqué le match le plus accompli de la saison 2009-2010 des mousquetaires de l’Ovalie.
Décidemment ce groupe porte en lui de bien belles promesses pour la saison prochaine pour peu qu’on le laisse grandir ensemble !
SESSION DE RATTRAPAGE
il ne restera plus aux absents que la session de rattrapage et la réception de Palois euphoriques qui marchent comme des avions et visent plus que jamais la qualification
Un match pour l’honneur, les meilleurs
De quoi faire vrombir ce du vieux volcan du Moulias qu’on croyait trop vieux …et rebondir les flancs de la Bodega Paquito jusqu’à manquer de kérosène comme ce samedi soir pour la première fois de la saison . le brasier couverait t’il sous la cendre ? Non la FCAG n’est pas mort car il vibre encore !
“En davant toustem” – En avant toujours
Michel Sespiaut